Une belle maison entourée de verdure, ce qui ravit la grande fille, responsable de la pelouse, sous l'oeil de sa mère. La camionette indique Napoléon Laliberté, mais je n'ai pu réussir à lire son métier. L'habitation est plantée dans un décor bucolique, mais parions qu'elle n'était pas trop loin d'une ville. Nous étions en 1957.
Un modeste intérieur typique des années 1950, avec un sofa dans un coin à part, un téléviseur avec porte (Excellent pour que la poussière ne se dépose sur l'écran) et ce qui me semble être un appareil radio. Des petites images sur les murs, puis un peu de lecture pour relaxer.
GASTON : Je ne peux pas, maman. Je suis en train de chercher mon sac de billes laissé ici hier. Demande à Robert.
Une grosse maison bourgeoise. La rutillante automobile, à gauche, nous indique que nous étions au cours de la décennie 1940. Qu'est-ce qui m'étonne ? Le cours d'eau ? Non : une des femmes dans la barque est nue. Si, si, cliquez pour agrandir et vous constaterez.
Je ne suis jamais arrivé à me décider s'il y avait une mise en scène du photographe ou si tous ces gens déménagaient vraiment tous en même temps !
Une femme d'intérieur, des années 1950, travaille dans la joie pour que tout soit propre dans son foyer. Elle manie le plumeau comme une pro !
Il reste peu de choses de l'époque coloniale de la ville, tant de l'aspect français que britannique. Les maisons du 18e siècle était encore nombreuses avant qu'un gigantesque incendie ne les détruise, en juin 1908. Les survivantes sont concentrées dans le sud de la ville, parfois isolées les unes des autres. C'est le cas de cette maison, de la rue Hertel. La photo date de 1937.