La femme est au volant, pendant que son mari distrait le gamin et que deux passants admirent la voiture. Ceci est sans doute un dépliant, vantant les mérites du modèle 1958 de Buick. Ceci me rappelle mon père, qui adorait les automobiles. Cent fois, je l'ai vu revenir à la maison avec ce type de dépliant, même si sa voiture n'avait pas une année d'usage. Lors de la sortie dominicale, il fallait obligatoirement passer par un marchands d'autos. Il sortait et les regardait une à une. Moi, ça ne me plaisait pas plus qu'il ne faut, mais, un mois plus tard, je pouvais découper les rutillantes et les coller dans mes cahiers. Petit, je pouvais nommer toutes les marques d'autos sans me tromper, écho des monologues de papa. J'ai perdu cette habitude à l'adolescence.
Commentaires
Merci. Maintenant, je pense qu'elles sont toutes pareilles.
Bonjour Mario , figure toi que je comprend les habitudes ton pére car chez moi depuis gosses j'ai vu défiler le paquet de bagnoles , on a eu trois Chambord une sacré bagnole qui bectait 14 litres au cent et puis aprés on a reduit les tailles car fallait les garer , mais des grosses cylindrées avaient un sacré charme fou a l'époque...Les buick avaient une sacré allure aussi ...Il y avait les Versailles mais j'aimais les chambords avec leurs aileront , souvenirs ,souvenirs tu nous tiens !!!!Bonne journée a+++Lilli
Ce n'est pas tant mon habitude que celle de mon père
Florentin, ta conclusion m'a fait éclater de rire.
Merci à vous deux.
Sublime voitures, voilà une habitude très chouette que tu avais.
La bise,
Manène
Quelles belles voitures alors ! Mais la mode s'est perdue de ces voitures qui ressemblaient à des wagons, pesaient deux tonnes et se montraient d'une gourmandise folle d'essence. Lui a succédé ici, la mode des petites voitures. Mon garage, construit à cette époque, est, en conséquence, étroit, ce qui m'oblige aujourd'hui à être très prudent quand j'y rentre ma bagnole (de format moyen)...