Il y en a des plus larmoyantes que celle-là, mais cette feuille de musique faisait partie du mouvement mélodramatique que l'on croisait souvent dans les chansons de l'ère victorienne, sans doute inspirées par les récits de Dickens. Ici, la fillette pauvre, misérablement vêtue, cogne à une porte d'une maison bourgeoise, demande la charité et de ne surtout pas lui fermer la porte au nez. Nous étions en 1872.
Commentaires
En effet.
Bonjour Mario,
Cela me fait penser à une image analogue qui figurait le conte : la petite fille aux allumettes....