Les maisons ouvrières de la rue Sainte-Cécile, à Trois-Rivières, en 1931. Même à ce moment, elles avaient été décriées comme une contribution de laideur au tissu urbain. Les logements étaient davantage longs que larges et comme toutes les maisons étaient mitoyennes, il y avait des pièces sans lumière du jour et sans aération. Les seuls espaces de clarté étaient le salon, à l'avant, puis la cuisine, derrière. Ma grand-mère maternelle a habité ce genre de maison et le seul souvenir que j'en ai : c'était sombre. Elles ont poussé avec le boum industriel des pâtes et papier et d'une filature, au cours des années 1920, La plupart de ces maisons sont toujours là de nos jours, avec des modifications, mais l'intérieur demeure sombre. Aussi : pas de verdure : ni devant ni derrière. Les escaliers en tire-bouchon sont sans doute toujours le cauchemar des facteurs !
Commentaires
Merci !
Cela ressemble aux habitations de certaines de nos stations de sport d'hivers.....
ils étaient trés en avance sur nos maisons de provinces françaises ....