Semble-t-il que je doive être à la mode médiatique et vous parler d'inondations. À Trois-Rivières, au 19e siècle et au début du suivant, la montée des eaux du fleuve Saint-Laurent, à cause de la pluie et de la fonte des neiges, voyait le quartier Saint-Philippe inondé une année sur deux. La photo en est la preuve. Dans mon roman Ce sera formidable, les inondations deviennent, en quelque sorte, un personnage du récit, alors que Joseph Tremblay n'en peut plus de toute cette eau.
Commentaires
Ne pas oublier que ces rues n'étaient pas asphaltées : c'était de la terre. Donc, c'étaient des inondations boueuses.
Pas étonnant c'est la troisième rivière.....Que d'eau, que d'eau ?
Pour le 19e siècle, je ne sais trop s'il y avait une ligne d'urbanisme pour les maisons. Je sais qu'une rue comme celle-là, et la plupart de ce quartier, n'étaient pas éloignées du fleuve.
Or, il y avait un port, avec ses installations, qui n'existent plus au dernier quai, précisément là où ce quartier était situé. Or, au niveau du port, c'était le quartier commercial et l'eau ne pouvait franchir les quais, si bien que Saint-Philippe était inondé et que ses voisins, à dix minutes de marche, ne l'étaient pas du tout.
les permis de construire sont ils respectés?