Deux comédiens de vaudeville, maquillés en Noirs, arrivent face à la petite salle de théâtre (de cinéma ?) où ils doivent se produire. Rien de mieux pour attirer le public qu'un avant-goût et cet ours qui se délecte est certes un sujet idéal. Notez le visage de la femme, au premier plan. Une photo de 1922.
1. fanfan76 le 06-09-2014 à 17:04:59 (site)
Oui malheureusement, ils n'étaient pas toujours très bien traités et encore aujourd'hui, fanfan
2. MarioBergeron le 06-09-2014 à 18:13:55 (site)
Les ours ou les comédiens ?
3. jakin le 07-09-2014 à 07:56:28 (site)
Compliments pour la photo du jour et pour ce blog qui nous plonge dans le passé.....
4. lydie17 le 07-09-2014 à 13:54:02 (site)
Bonjour,
Félicitation pour la photo du jour!
Bon dimanche :-)
6. MarioBergeron le 07-09-2014 à 18:46:37 (site)
Je me demandais, car les comédiens de vaudeville étaient, dit-on, des gens peu recommandables et étaient interdits de séjour dans des hôtels, des villes, etc.
Deux enfants souriants regardent un rude forgeron, qui paraît un géant à leurs côtés. Peut-être est-il le père des petits.
La profusion de chansons américaines relatives à la guerre, en 1917 et 1918 seulement (dans leur cas) présentaient des idéaux un peu naïfs et nettement propagandistes. Dans le cas des soldats blessés, la souffrance n'était guère importante, à cause d'une jolie infirmière dont ils devenaient obligatoirement amoureux. Le cas de cette chanson et de cette feuille de musique, avec une garde-malade prix de beauté !
1. fanfan76 le 04-09-2014 à 11:08:22 (site)
Oui, mais l'infirmière même de toute beauté, n'empêchait pas la souffrance des grands blessés, fanfan
2. MarioBergeron le 04-09-2014 à 18:35:15 (site)
Ce n'est pas ce qui servait la propagande. Dans ces chansons, la guerre était comme un jeu, une partie de plaisir.
Le dentiste explique la situation à la maman, qui se veut rassurante, alors que le garçon est cramponné à la chaise. Non, c'est faux : il n'est pas gentil, le dentiste ! Une photo de 1950.
Un groupe de fillettes s'amusent ferme sur le trottoir. Le milieu me paraît villageois. Une photo de 1938.
1. EnjoyBlogging le 31-08-2014 à 09:01:12 (site)
C'est une jolie photo que tu as trouvé là !
Belle journée.
Enjoy
2. fanfan76 le 31-08-2014 à 13:50:01 (site)
Elles sont mignonnes ces petites filles, elles devaient avoir l'habitude de se réunir là, derrière il y a un banc avec peut-être leurs effets personnels, fanfan
3. MarioBergeron le 31-08-2014 à 18:46:52 (site)
La décor me paraît terne. J'ai pensé que, derrière, c'était un parc, mais l'herbe est longue et le lieu me paraît désert.
Trois hommes et un garçon, colons du village de Montbeillard, en Abitibi, au cours des années 1930. Ce qui devrait arrirer votre attention : les imposantes billes de bois sur lesquelles ils sont installés, ainsi que leur nombre, la hauteur de l'accumulation. Il fallait déboiser, s'ils voulaient cultiver et ériger une maison.
1. fanfan76 le 29-08-2014 à 18:15:10 (site)
Oui il y a du boulot avant de pouvoir cultiver la terre et construire une maison, mais pour la maison, pas de problème ils ont le matériau fanfan
2. MarioBergeron le 29-08-2014 à 22:25:49 (site)
Pas nécessairement : ce bois était souvent vendu aux compagnies forestières.
Une soirée dansante pour adolescents, sans doute au début des années 1960. Les jeunes femmes semblent manquer de garçons...
Beaucoup de choses ont été racontées sur cette ligue de baseball féminine, en activité dans le centre des États-Unis au cours des années 1940. On a rarement dit qu'elles commettaient beaucoup d'erreurs lors des rencontres... Fermons les yeux sur le film qui a été tourné par Hollywood il y a une vingtaine d'années pour simplement dire que ces jeunes femmes ont vécu une expérience formidable. D'ailleurs, je n'ai jamais compris qu'une telle ligue ne soit pas réapparue dans le décor sportif. Voici l'équipe de Peoria, en 1947. La femme vêtue de noir, au centre, était une chaperone, veillant à ce que ces sportives se comportent bien et demeurent de bons exemples pour le public.
1. fanfan76 le 27-08-2014 à 21:47:05 (site)
Je trouve que la plupart de ces jeunes filles ont des genoux saillants! En tous cas,elles ont de beaux sourires, fanfan
2. MarioB le 27-08-2014 à 22:01:16 (site)
Elles étaient athlétiques. À propos de ces jupes : la plupart avaient été effrayées à l'idée de jouer au baseball ainsi vêtues. D'ailleurs, il y a eu beaucoup de blessures aux jambes, aux genoux.
Le Canadien Timothy Eaton fut le premier grand commerce à faire de la vente par correspondance, par la voie d'un catalogue. Si, si : avant Simpson Sears. Voici l'édition 1903, avec un dessin très typique de l'ère victorienne. Les prix font rêver : 20 dollars pour l'ensemble de l'homme et seulement cinq pour le garçon. Pour la femme, il faut regarder à l'intérieur du catalogue !
1. fanfan76 le 26-08-2014 à 14:02:51 (site)
Quelle jolie illustration ! pour ce catalogue de ventes par correspondance, fanfan
2. MarioBergeron le 26-08-2014 à 18:16:03 (site)
Merci.
Commentaires
1. fanfan76 le 07-09-2014 à 15:03:40 (site)
Je les trouve très gracieuses, jolie photo, merci Mario, fanfan
2. MarioBergeron le 07-09-2014 à 18:44:41 (site)
Bienvenue