Cet adolescent des années 1940 se prépare pour une sortie. Avant d'attacher la cravate, l'important, c'est un bon coup de peigne!
Ah, c'est un beau, celui-là. Mais où sont les enfants? Quoi qu'il en soit, pour l'ambiance de mise, cliquez sur le fichier audio.
Une perception du jazz naissant, pour cette chanson de 1919, qui faisait partie d'un spectacle de la scène. Notez, dans le coin inférieur gauche, un pianiste qui s'envole! Une agréable illustration.
Ceci est une photo utilisant un procédé couleur qui n'était pas tout à fait au point, mais qui a connu une certaine popularité, au cours des années 1910. Je suis trop paresseux pour chercher le nom ! Quoi qu'il en soit, on pense souvent que les enfants de 1915 vivaient en noir et blanc, alors que les trois fillettes en vedette sont tout à fait colorés.
Pas de doute que cette adolescente des années 1940 avait une imposante collection de peluches.
Les policiers-pompiers de Trois-Rivières, en 1922. Ils ont l'air très sérieux... Cette photo d'époque ne circule pas dans les archives de la ville. Je l'ai trouvée au poste de police principal, dans le cadre d'une recherche sur le grand incendie de juin 1908, pour une exposition. La photo, et de nombreuses autres, avait été trouvée par un policier, collectionnant tout ce qui était relatif à l'histoire de la force de l'ordre de la ville. Il m'en avait numérisé quelques unes avec bonté.
Une jolie jeune femme des années 1920, vêtue avec soin, au volant d'une rutillante voiture. Le numéro, à droite en bas, me laisse deviner que cette photo faisait partie d'une collection. L'indication sur la portière est dans une langue qui m'est inconnue.
Peut-être qu'il y avait une fanfare tout près... La petite, avec son ombrelle, surveille et se demande quand elle pourra danser comme les grandes. Une photo de 1886.
Une promenade près des tentes foraines, en 1890. Le seul manège mécanique qui existait, à ce moment, était les chevaux de bois. Tout ce qu'il fallait voir était sous des tentes.
Il faut l'avouer : on n'en fait plus, des semblables! La femme ravie, superbement vêtue, se laisse courtiser par un bel homme tout autant bien vêtu. Je n'ai pas de date pour cette feuille de partitions musicales et j'aurais cru que c'était de la fin du 19e siècle. J'ai retracé l'auteur de la chanson, surtout actif au cours de la décennie 1910. Même à ce moment-là, cette image était délicieusement vieilotte.
Pendant très longtemps, il y eut, au parc Lafontaine de Montréal, l'illustration de contes de féee et d'histoires connues, s'adressant surtout aux enfants. C'était joli et très bien fait. Je crois qu'ici, nous avons droit à l'arche de Noé. Notez que les adultes aussi étaient intéressés. Une carte-postale des années 1940.
Une carte-postale de la gare de Sherbrooke, dans la première moitié du 20e siècle. Cette ville étant la capitale de la région des Cantons de l'Est, la gare est imposante. Le compagnie de chemin de fer nommée, Grand Trunk Railway, était le plus important au Canada à ce moment-là.
D'ailleurs, pour les besoins de cette photo, notre reine semble seule sur une large patinoire. Fière allure, avec sa tuque avec ponpon ! Pas seulement patiner : elle jouait au hockey. Je ne suis pas arrivé à lire le texte du bas, mais parions que cette gracieuse de 1903 était de l'Ouest canadien, une région où les femmes s'adonnaient beaucoup aux sports collectifs habituellement réservés aux hommes.