Une charmante image, dans un décor de studio de photographie. Ces enfants sont très bien vêtus. J'apprécie la fillette avec son ombrelle. Quelle classe!
Une dizaine d'hommes n'ont pas peur du travail pour bâtir ce qui me semble être une grange. Une photo prise en Abitibi, en 1954.
La fillette semble un peu méfiante, même si ces oursons, attachés, ne sont sans doute pas dangereux.
Une feuille de musique non datée, mais sans doute du début du 20e siècle. On y voit celui que vous savez, mais on n'imagine pas le pôle nord ainsi... Ce qui attire mon attention est le texte. Une petite fille écrit au bonhomme rouge pour lui demander de ne pas lui donner la poupée réclamée, parce que sa maman est décédée, que son père est inconsolable et que son petit frère ne joue plus. Alors, la fillette désire, comme présent du 25, que le père N les emmène tous au paradis pour retrouver maman. Sortez vos mouchoirs!
L'homme sourit gentiment à ce jeune vendeur de friandises, qui possédait un joli véhicule. Nous étions en 1910.
Elle monte le son de la radio, mais ce que je remarque en premier lieu est que ce couple est en train de lire. J'apprécie aussi les photos sur les murs. Nous étions en 1942.
Une fillette de l'époque victorienne, qui ne semble pas trop joyeuse, sans doute sous l'ordre de ses parents, installés près du photographe, qu'ils ont fait venir à grands frais à la maison. Les enfants bourgeois ne souriaient jamais, sur les photos. Notez bien que sa poupée ne porte pas à sourire non plus... Il faut surtout voir le décor rempli de toutes sortes de trucs. Typique de cette classe sociale du 19e siècle!
Une marche composée en l'honneur de l'Exposition universelle tenue à Paris, en 1889. On peut y voir la jeune Tour Eiffel, dans son contexte d'origine.
Bien sûr que ça sourit, une religieuse! Même qu'elles peuvent rire. Celles-ci sont peut-être amusées parce que le nom du navire fait penser un peu à Ursuline. Il y avait cependant un peu de vent...
Un groupe d'étudiantes en enseignement, en 1945. Peut-être qu'il s'agissait de diplômées, lors d'une cérémonie marquant la fin de leurs études.
Deux écolières de 1963. Je crois que ce sont des jumelles. Elles écrivent leurs prénoms au tableau. Celle de gauche se nomme Karen, mais on ne peut connaître l'identité de l'autre, car elle a la tête devant ce qu'elle a écrit.
Une photo de France. Ce n'est pas exactement ce qu'on peut imaginer à propos d'un garage, mais ce commerçant était sans doute à la fine pointe du domaine du transport, puisqu'il s'occupait aussi de vélos. Plein de choses à observer, sur cette photo !