Il n'a pas voulu jouer à la balle avec elle... La jolie lui lit une histoire et il n'écoute pas... Pfff... Ce chien, ce chien... Une photo de 1957.
Trois-Rivières, 1949 ou 1950 : les gagnants des jeunes éleveurs, concours organisé pour encourager la jeunesse à s'impliquer dans la vie rurale. Les jeunes s'apprêtent à parader devant le public, avec leurs animaux. J'aime beaucoup la petite fille à l'extrême droite. Parions qu'elle était très fière de tenir l'écriteau indiquant sa provenance. Cette photo (et tant d'autres) a reposé cinquante années dans une boîte dans le sous-sol du petit pavillon administratif de l'Exposition agricole, jusqu'à ce que je découvre le trésor, il y a une dizaine d'années. Cliquez pour mieux voir son minois.
Deux feuilles de musique semblables, pour deux chansons différentes, mais ayant des points communs : endormir le bébé. La première date de 1851 et la seconde de 1864. Dans les deux cas : de magnifiques dessins d'une lointaine époque.
Gloire locale ! Fortin était l'équivalent d'un "Grand magasin" où l'on trouve de tout, pour plusieurs générations de citoyens de ma ville de Trois-Rivières. Joseph Fortin a débuté en duo avec un certain monsieur Teasdale, au cours de la décennie 1880. Cette photo date de 1910 et il semble bien que le commerce n'avait qu'un étage, alors que je l'ai connu, ainsi que mes parents, avec trois étages. D'ailleurs, Fortin a été le premier commerçant à disposer d'ascenseurs. Pendant des années, Fortin organisait une parade du père Noêl dans les rues de la ville. Le vrai de vrai bonhomme rouge avait niche chez Fortin. Pas ailleurs ! Ce commerce a fermé ses portes au début des années 1970. Le local a par la suite abrité une librairie, puis, de nos jours, il y a un café au premier étage. Notez les jolies robes en vitrine.
Quatre enfants de la campagne marchent vers leur école, transportant leur goûter. Parions que la jeune femme à vélo est leur enseignante. Une belle photographie de 1956.
Une chanson de la première guerre mondiale pour inciter les femmes demeurées au pays à écrire au soldat parti combattre en Europe. Nous passons de la mère à l'épouse et à l'enfant.
Pendant une quarantaine d'années, la ville de Québec a eu une équipe de hockey portant le nom de As, cela à différents niveaux de compétition. Je crois que l'équipe avait une beau logo. Voici l'édition 1948 des As.
Cet anniversaire de naissance est une affaire strictement masculine. Oh, ils peuvent bien tolérer maman, car sans elle, il n'y aurait pas de gâteau. Une photo de 1943.
Cette carte-postale nous révèle tout : le lieu, l'adresse, le numéro de téléphone et le nom de propriétaire. Manque la date, mais il s'agit d'une salle typique de la période 1945-1955. Chose rare, le cinéma est flanqué d'un restaurant.
Un ado des années 1940 se sert du fauteuil comme un véritable ado ! Il lit les nouvelles du sport d'un journal. En manchette : les Cards de St-Louis ont vaincu les Reds de Cincinnati 3-1.
Des jupons, des jupons, des jupons, des souliers plats et des sourires. Les robes indentiques me laissent deviner que ce quatuor faisait partie d'un spectacle.
Une carte-postale d'une jolie petite gare, à Pointe-Claire. Habituellement, c'est plein de gens qui posent, mais on ne croise ici qu'un homme. J'aime bien le toit pointu et le fait d'avoir écrit le nom du village sur l'édifice.
Encore un peu de feuilles mortes ! Se faire enterrer ainsi amuse beaucoup la fillette et le garçon a accompli du bon travail.
J'ai l'impression que toutes ces monstrueuses montagnes russes portaient le nom de Cyclone, avec l'indication "Plus rapide que jamais." Celui-ci est de forte taille et plutôt long! Les automobiles m'indiquent que nous étions au cours des années 1950.
Des employés municipaux ramassent les feuilles mortes balayées par un citoyen. Il en reste encore beaucoup sur les arbres! J'ai cru voir, sur la portière du camion, que ceci se passait à Hamilton (Ontario), mais je n'en suis pas entièrement certain...
Des robes à pois, des chapeaux plats, des couettes frisées, telles étaient les normes pour les petites filles de 1897, se réunissant pour le thé d'agrément. Celle de gauche a été surprise la bouche pleine par le photographe!
Ce n'est pas un sujet que j'ai abordé souvent ici ! Il faut avouer que je n'y connais rien. L'homme à la pipe semble savoir précisément ce qu'il désire, alors que son adversaire attend son tour, pensant : "Il va rater son coup. Il FAUT qu'il le rate!"
Une carte-postale du début du 20e siècle nous présente des Amérindiens montagnais, mêlant la tradition avec le modernisme. Après tout, l'homme sur la deuxième rangée, porte chapeau et cravate ! Par contre, une femme de la première rangée fume la pipe.