Il y a ici beaucoup de photos anciennes d'enfants, mais voici la seule qui vous présente des petits du Japon, réunis pour un goûter convivial.
Une équipe de hockey d'un lieu non identifié, en 1907. Ces jeunes hommes étaient fiers de poser avec leur trophée, emblême de leur supériorité sur d'autres formations. L'homme ne habit est sans doute l'instructeur de l'équipe.
Une jolie feuille de partitions musicales pour "la sensation de deux continents". Beaux dessins, avec une grande importance donnée au noir. Cette chanson fut très populaire au cours des années 1920, particulièrement via la version de Paul Whiteman. Je n'ai pas l'habitude de faire ça ici, mais voici une version 1921 de cette pièce, par le chanteur Frank Crumit.
Deux jeunes femmes de 1912 dans une curieuse petite voiture, où une troisième demoiselle ne saurait trouver place.
Ceci est une publicité de 1952 pour un téléviseur. La femme, amusée mais peut-être impatiente, ordonne au mari d'oublier les belles filles du petit écran pour sortir et enlever la neige de l'entrée de la maison. Amusant !
Des petites filles de six ans posent fièrement dans leurs vêtements immaculés, pour leur première communion. Je ne sais trop si elles réalisaient ce que cela impliquait - sans doute que non - mais c'est facile de deviner qu'elles étaient fières. Notez que seules les fillettes de la première rangée n'ont pas les mains jointes. Leur maîtresse d'école semble tout autant contente. Nous étions en 1954.

Les créateurs de chansons ont été si rapides à composer des mélodies sur le naufrage du Titanic qu'ils n'ont pas laissé le temps aux dessinateurs de représenter adéquatement la façon dont le navire avait coulé. Pour cette chanson yiddish, on mise sur un vieux couple amoureux qui affronte la mort en toute paix, alors qu'un ange immense attend pour les couronner et les mener vers le paradis.
Non, ce n'est pas une ville. Un village. Un gros village. Déjà en 1920, c'était un rendez-vous des pèlerins catholiques, qui déferlaient chaque été pour prier. Cela n'a d'ailleurs pas changé. Pour accueillir ces touristes, il y avait des hôtels, des commerces, des restaurants. C'est ce que l'on voit ici. Ce que j'aime sur ce genre de photo, ce sont les détails de la vie socio-culturelle d'une époque. Les vêtements, les voitures, l'affichage. Ce que j'ai remarqué ici, ce sont la multitude de drapeaux. Le Canada n'en avait point, à ce moment, remplacé par l'Union Jack britannique. Le Québec n'en avait pas non plus, mais on croisait beaucoup de drapeaux du carillon qui, modifié au cours des années 1940, deviendra celui du territoire. J'ai cru voir un drapeau français, sur l'édifice au premier plan, à gauche.
"Cette belle enfant vous apporte l'amour. Ouvrez-lui votre porte." Une carte de souhaits, de France, du début du 20e siècle.
Une lointaine tradition paysanne du Québec : La prière en famille, avant de se mettre au lit. Le crucifix est accroché au poêle à bois. Cette photo est extraite d'un film de 1949 : Le Gros Bill.
Le saxophoniste est Jay McNeely, musicien de rhythmn & blues de la fin des années 1940. Ce que j'aime ici est la réaction du public, particulièrement les trois jeunes hommes au premier plan. Expressifs, transportés, on ne peut plus! Une fille semble trouver amusant le plongeon de Jay, alors qu'un garçon se demande ce qui se passe.
Ce garçon rêve tout éveillé en regardant un splendide étalage de friandises de toutes sortes.