Si le nom Fusey vous interpelle, je précise que je ne fais pas de faute de français, car il ne s'agissait pas d'une fusée, mais du nom (étrange, je l'admets) du premier curé de la paroisse de ce secteur de la ville.
La seconde photo : le même lieu, après sa fermeture, en 1974. Triste... Vitrines vides, abandon. Je sais qu'un marchand de vélos s'est installé un certain temps dans le local, mais le propriétaire de l'immeuble a eu beaucoup de mal à trouver un autre marchand.