Un couple vieilissant, sans doute de la campagne, comme le laisse deviner les vêtements de l'homme. Une photo de 1940.
Une feuille de musique de 1867. L'accent est mis sur le dessin central, alors que tout le monde patine. Les hommes portent des hauts-de-forme et les femmes des manchons. Cependant, tout autour, il y a des plus petits dessins relatifs aux joies de la saison blanche. Cliquez pour mieux voir. Il y a beaucoup de choses à observer.
2. MarioBergeron le 11-10-2014 à 23:13:34 (site)
Oui, en effet ! J'aime bien les patineurs masculine et leurs gros chapeaux !
Une soirée dansante, en 1937. Que des couples ! Peut-être qu'on ne voit pas les délaissés, rangés le long d'un mur... L'orchestre, tout au fond, est une petite formation avec batterie et cuivres. Petit jazz swing !
1. Florentin le 09-10-2014 à 10:28:52 (site)
Du temps de ma jeunesse, dans les années 60, ce genre de bal se passait tous les samedis. Il n'y avait encore rien d'autre pour amuser les jeunes gens. Mais, j'avoue ne pas les avoir beaucoup fréquentés.Je préférais alors le cinéma. Il m'arrivait alors d'aller au cinéma trois fois dans mon dimanche (14 h, 17 h et 21 h). Conclusion : je ne sais toujours pas danser !
2. MarioBergeron le 09-10-2014 à 19:38:00 (site)
Alors, il faut regarder mon site sur le cinéma (Voir les liens, à droite).
Au cours des années 60, il y avait des danses partout, car la musique était très importante pour le génération de l'après-guerre. Il y avait une petite salle à deux rues de chez moi, J'avais huit ans et je me rendais pour marcher tout près et écouter les guitares.
4. MarioBergeron le 09-10-2014 à 22:40:48 (site)
La grande sortie de la semaine !
Cette photo est célèbre et il faut avouer que cette fillette inuit, prénommée Mukpi et âgée de trois ans, a l'air très sympathique. Elle était la plus jeune survivante des passagers du navire Karluk, voyageant entre le nord de l'Alaska et la Sibérie et qui a fait naufrage, en 1914. Vous trouverez facilement des renseignements sur cette catastrophe sur Internet.
Une carte postale pour faire la promotion des cartes postales avec la marque du Trèfle. Une petite marchande, dans son kiosque noyé sous les cartes, intéresse deux clientes. Un produit de France, du début du 20e siècle.
1. fanfan76 le 06-10-2014 à 19:52:06 (site)
Jolie cette carte postale, avec les paroles dites par la marchande, fanfan
2. MarioBergeron le 06-10-2014 à 20:51:10 (site)
Je voulais recopier ce textes, mais il y a des passages en partie effacés.
3. Florentin le 07-10-2014 à 15:02:12 (site)
Je suis un amateur de cartes postales et je ne jette aucune de celles que je reçois. Mais, j'avoue n'en avoir aucune qui soit vraiment ancienne. On en trouve encore dans les vide-greniers, mais j'ai des envies plus pressantes. On ne peut tout acheter ...
4. MarioBergeron le 07-10-2014 à 22:57:06 (site)
Il y a beaucoup de gens qui les collectionnent et je crois que c'est un beau loisir.
1. fred-fait-des-siennes le 05-10-2014 à 12:03:27 (site)
Je dirai espagnol pour la langue
2. Florentin le 05-10-2014 à 15:09:18 (site)
Espagnol ? Italien ? Portugais ? A voir l'image, on dirait qu'on a ici affaire à une espagole. Mais, bon, pas sûr ! En tout cas, elle est bien mignonne !
3. MarioBergeron le 05-10-2014 à 18:50:03 (site)
J'ai toujours eu un peu de mal avec ces langues... Merci à vous deux.
4. fanfan76 le 05-10-2014 à 22:02:04 (site)
J'ai fait des recherches, ils semblent indiquer que c'est fait en tôle bombée avec relief et ce serait une publicité anglaise, fanfan
5. MarioBergeron le 05-10-2014 à 22:35:49 (site)
Anglais ? Étonnant !
Le centre-ville de Grand-Mère, sans doute au cours de la décennie 1910. Pas beaucoup d'automobiles, hein... Notez les trottoirs de bois. Cette ville est située dans ma région et si vous vous demandez pourquoi elle porte ce nom, c'est tout simplement que les premiers explorateurs passant par là avaient noté une pierre ayant la silhouette d'une vieille femme.
4. MarioB le 05-10-2014 à 02:14:47 (site)
Lors de la fusion de certaines villes, Grand-Mère a perdu ce joli nom au profit de Shawinigan, ce qui n'empêche pas les gens de dire toujours qu'ils sont de Grand-Mère.
Ravie, une femme des années 1920 met en marche son appareil de radio. J'aime bien cette photo, car mon grand-père paternel en avait un semblable, quand j'étais petit.
1. fanfan76 le 03-10-2014 à 12:04:26 (site)
Elle savoure le plaisir d'avoir cette jolie radio, cette gente dame, fanfan
2. MarioBergeron le 03-10-2014 à 12:08:36 (site)
Merci.
3. Florentin le 04-10-2014 à 16:44:59 (site)
Je me soviens avoir écouté à la radio l matche pour le Championnat du Monde de Cerdans conte Lamotta.C'était sur uen radio de plus petit format, mais à modulation d'amplitude. Ca crachouillait à mort !
4. MarioB le 04-10-2014 à 18:27:27 (site)
Le meuble de mon grand-père appartient maintenant à ma soeur. Il fonctionne toujours !
Un joueur de banjo, accompagné par une fille à la guitare, ravit ce public de trois enfants. Une photo de 1942.
1. fanfan76 le 02-10-2014 à 19:02:28 (site)
Ah super! elle est nette cette photo, très lumineuse, je trouve, fanfan
2. MarioBergeron le 02-10-2014 à 19:31:57 (site)
Merci.
3. Florentin le 02-10-2014 à 22:32:48 (site)
Lorsque j'étais enfant, nous avions un voisin, pâtissier de son état, qui jouait du banjo. On allait souvent l'écouter, assis sur son parquet. C'est un instrument qu'on n'entend plus beaucoup aujourd'hui ...
4. MarioBergeron le 03-10-2014 à 07:01:16 (site)
La situation est un peu la même que sur la photo, alors.
Pour la banjo de nos jours : Cynthia Sayer joue du... jazz au banjo.
5. yvandesbois le 06-10-2014 à 23:29:28 (site)
Salut Mario , toujours sympat. de voir ces cartes postales a + yvan
L'artère commerciale de Amos, en Abitibi, en 1963. Hé, cette rue n'a pas changé d'un poil ! Je me suis rendu dans cette ville, pour un salon du livre, il y a une dizaine d'années. La façon de stationner les véhicules est aussi la même. Une exception, de voir une rue si large ? Non : la plupart des rues des villes abitibiennes ont cette particularité.
1. fanfan76 le 01-10-2014 à 09:16:50 (site)
Incroyable sauf sur tes photos, je n'ai jamais vu de rues si larges! Tu dis ça n'a pas changé, mais les feux tricolores sont toujours accrochés aujourd'hui comme cela? fanfan
2. Florentin le 01-10-2014 à 10:25:59 (site)
Le Canada de l'époque était peut-être le pays des grands espaces. En tout cas, on pouvait y circuler sans risquer de conger dans son voisin. Pas comme en France où nos rues sont souvent riquiqui !
3. MarioB le 01-10-2014 à 18:35:35 (site)
Je n'ai jamais vu des rues aussi larges que dans les villes d'Abitibi ! Il y a deux raisons : ces villes sont nées à l'époque des automobiles et les concepteurs avaient prévu le coup. Seconde raison, qui m'a été dite par un historien de là-bas : ces villes étaient entourées de forêt et un cas d'incendie et de vent, le feu pouvait atteindre les édifices, mais difficilement "traverser la rue" pour endommager les établissements voisins.
4. MarioBergeron le 02-10-2014 à 06:58:50 (site)
Ah, Fanfan ! Non, les feux de circulation ne sont plus comme ça, Je puis cependant t'assurer qu'à droite, il y a un petit café où je me suis rendu souvent, lors de mon séjour.
5. fanfan76 le 02-10-2014 à 18:58:21 (site)
Merci Mario, pour les feux, je me doutais bien, que cela avait changé! D'accord, Mario pour le petit bistro qui doit-être sympa! fanfan
Commentaires
1. Florentin le 11-10-2014 à 16:08:52 (site)
Cette époque n'avait pas les facilités de l'heure actuelle ! La terre était basse et il fallait de baisser pour faire vivre (chischement) les sien. Je le sais j'ai souvent vu mon père, à cette époque, rentré harassé du travail ....
2. MarioBergeron le 11-10-2014 à 22:20:39 (site)
Peut-être qu'il y avait plus de solidarité, chez les paysans.
3. Florentin le 12-10-2014 à 18:00:31 (site)
Je viens de me relire. Je devais être "harassé" quand j'ai écrit mon commentaire. Excuse-moi pour le erreurs d'orthographe et de frappe.
4. MarioBergeron le 13-10-2014 à 06:19:00 (site)
Les seules fautes gramatticales ou d'orthographe que je refuse : lorsque le peuple de France utilise des termes anglais pour remplacer des mots qui existent dans leur culture et leur riche langue. Une véritable plaie !